Roger Frison-Roche



(A) Vie et oeuvres.



(a) Par ses écrits, mondialement connus, Roger Frison-Roche est le montagnard qui a le plus contribué à faire connaître l'alpinisme et le métier de Guide.


(b) Les ouvrages sur le désert et le Sahara sont plus anciens que la trilogie consacrée au massif du Mont Blanc. Présent à Alger lors du débarquement américain, "Frison" ne tarissait pas d'éloges sur la puissance militaire américaine. C'est pourquoi le gouvernement du maréchal Pétain l'a assigné à résidence dans des lieux moins fréquentés, Beaufort et le Beaufortin. Là, il contribua à orienter des jeunes ches Chantiers de Jeunesse vers le Maquis. Mais ce n'est aux pieds de la Pierra Menta qu'a été composé "Premier de Cordée". Le manuscrit est signé d'Alger, le 22 février 1941. Correspondant de guerre en Tunisie, Frison est arrêté par les Allemands. Membre de la Résistance, recherché par la Gestapo, Frison était à Chamonix comme conseiller technique pour le tournage du film "Premier de cordée".


(c) Ouvrages en français :


- "L'Appel du Hoggar", édité chez Flammarion, à Paris, en 1935.

- "En skis et à chameau à travers le Grand Erg Occidental", S.I.P.A. Alger, 1937.

- "Kabylie 39", S.I.P.A. Alger, 1939.

- "Sur la Piste d'Empire", Edmond Chariot, Alger, 1941.

- "Premier de Cordée", Arthaud, Grenoble, 1941.


- "La Grande Crevasse", Arthaud, Grenoble, 1948.

- "Bivouacs sous la lune : La Piste Oubliée", tome 1, Arthaud, Grenoble, 1950.

- "Le Grand Désert", Photos Georges Tairraz, Arthaud, Grenoble, 1950.

- "Sur les Traces de Premier de Cordée", Photos Georges Tairraz. Arthaud, Grenoble, 1952.

- "Bivouacs sous la lune : La Montagne aux Ecritures", tome2, Arthaud, Grenoble, 1952.

- "Le Rendez-vous d'Essendilène", Arthaud, Grenoble, 1954.

- "Retour à la Montagne", Arthaud, Grenoble, 1957.

- "Les Montagnes de la Terre", Flammarion, Paris, 1957.


- "Mont Blanc aux Sept Vallées", Photos Pierre Tairraz, Arthaud, Grenoble, 1959.

- "Sahara de l'Aventure", Arthaud, Grenoble, 1961.

- "Mission Ténéré", Arthaud, Grenoble, 1961.

- "Lumière de l'Arctique : Le Rapt", tome 1, Arthaud, Grenoble, 1962.

- "Lumière de l'Arctique : La Dernière Migration", tome 2, Arthaud, Grenoble, 1965.

- "Carnets Sahariens", Flammarion, Paris, 1965.

- "Peuples chasseurs de l'Arctique", Photos Pierre Tairraz, Arthaud, 1966.

- "Les Montagnards de la Nuit", Arthaud, Grenoble, 1968.

- "Nahanni", Photos Pierre Tairraz, Arthaud, Grenoble, 1969.

- "Les terres de l'infini : La Peau de Bison", tome 1, Flammarion, Paris, 1970.

- "Les terres de l'infini : La Vallée sans Hommes", tome 2, Flammarion, Paris, 1973.

- "La Vanoise", Photos Pierre Tairraz. Arthaud, Grenoble, 1974.

- "50 ans en Montagne", Photos Tairraz, Arthaud, Grenoble, 1974.

- "Les Seigneurs de la Faune Canadienne, Flammarion, Paris, 1975.

- "50 ans de Sahara", Photos Pierre Tairraz, Arthaud, Grenoble, 1976.

- "Djebel Amour", Flammarion, Paris, 1978.

- "Le Versant du Soleil", Flammarion, Paris, 1981.


- "L'Esclave de Dieu", Flammarion, Paris, 1985.


(d) Pendant l'été 1962, à Chamonix, malgré son riche emploi du temps, le guide-écrivain accordait un interview à un obscure écolier de 16 ans, titulaire d'une bourse Zellidja, qui venait d'échouer à son baccalauréat et qui cherchait sa voie au pieds de montagnes qui l'envoutaient.


(e) A sa mort, en 1999, Frison était le doyen de la Compagnie. La Compagnie des Guides de Chamonix organise une exposition sur l'un de ses membres les plus célèbres. Dans sa jeunesse, il avait contribué à la création d'une école d'escalade aux Gaillands.


(f) Voir Arvi pas. Gaston Rebuffat.



(B) Frison-Roche et les contradictions de la réalité.



(a) De nombreux alpinistes, professionnels ou amateurs, reconnaissent volontiers avoir trouvé dans "Premier de cordée" ou dans l'ensemble de la trilogie alpine le déclencheur de leur vocation vers la haute montagne.


(b) Lectorat diversifié. Il ne serait pas surprenant que d'autres lecteurs aient été durablement détournés de ce type d'activité sportive. Frison parle lui-même de <monde interdit>.


- <<Le paysage devint nu, minéral ; la forêt cessa d'un seul coup, cédant la place aux essences naines - aulnes verts, rhododendrons, genévriers - qui calfataient les pierriers et les vieilles moraines. Seuls, quelques mélèzes décharnés, quelques arolles millénaires aux troncs de bronze éclatants, postés en sentinelles sur de gros blocs erratiques qu'ils étreignaient de leurs racines, ressemblaient à d'étranges rapaces montant la garde à l'entrée d'un monde interdit. (Roger Frison-Roche, 1948, "La Grande crevasse", édition Arthaud, 1968, page 21, Chapitre II)>>.


(c) En effet, si Roger Frison-Roche chante les beautés de la haute montagne, il ne cache pas ses dangers. Il en est de même pour le charme des montagnards. Il est probable que si Brigitte Collonges n'avait pas partagé avec Zian Mappaz un certain penchant pour l'absolu, sa première course d'escalade rocheuse dans laquelle un grimpeur suisse trouve la mort sous ses yeux, l'aurait peut-être dissuadée de poursuivre son initiation. De même, sa première course glaciaire, le Mont Blanc par la traversée des arêtes de Bionnassay, avec brouillard, l'orage et la perte de l'itinéraire sur le Dôme du Goûter, aurait pu l'inciter à renoncer. C'est, je suppose, la leçon que tira plus d'un lecteur.


(d) Dans "Premier de cordée", Frison loue la volonté, le courage et la camaraderie. Il développe le franchissement des étapes de l'entrée dans le cercle des hommes de la montagne, "la grande famille des montagnards", qu'il oppose volontiers aux "gens des plaines". Mais cette sensation d'appartenance à une élite a des conséquences dramatiques pour celui qui voit, devant lui, la perspective de ne plus en faire partie. C'est le cas de Georges à la Clarisse, héroïque sauveur du client américain de Jean Servettaz, quand il découvre ses deux pieds gelés. C'est le cas de Pierre Servettaz, après son opération au cerveau, quand il constate avec honte qu'il a le vertige. C'est bien la perfusion de l'appartenance à un groupe de copains qui permet à Georges et à Pierre de réintégrer le milieu étroit des montagnards.


(e) Dans "La Grande crevasse", s'opposent d'abord les représentations mentales de deux élites :


- l'élite sociale des aristocrates, que représente le baron Collonges, et à laquelle appartient spontanément Brigitte Collonges ;


-l'élite montagnarde, dont Zian Mappaz, le plus doué de sa génération, est le prototype.


(f) S'y ajoutent les merveilles d'une pédagogie audacieuse. Zian a créé une école d'escalade sur le Rocher des Gaillands. Il utilise la suggestion et un processus d'identification de l'apprenti avec le maître. Cette méthode, pour efficace qu'elle soit, n'est pas sans inconvénient. C'est parce qu'il voit les dangers de cette approche que Zian confie Kipp à son ami Laurent Bournet. Le dévissage de Kipp, qui ouvre le roman, était presque prévu.


- <<Si encore il était là, Zian... Certes, il avait une entière confiance en Laurent, mais ça n'était pas la même chose. Quand Zian était devant, tout allait mieux. Trop bien même : «... Vous vous habituez à moi, Kipp, disait-il, vous devenez trop confiant ; aujourd'hui, vous marcherez derrière Laurent ; comme ça vous serez obligé de vous débrouiller, car il ne connaît pas toutes vos manies, Laurent... »

Il avait bien fallu obéir. On en passait toujours par où voulait Zian. Car il savait la diriger, son école d'escalade, et tous, jeunes et vieux, faisaient, sous sa conduite, d'étonnants progrès. « Vous arriveriez à faire grimper un paralytique », lui disait-on parfois.

A l'autre bout de la corde, Laurent devait s'impatienter, car une discrète traction faillit arracher le gros soyeux lyonnais des prises sur lesquelles il hésitait.

«Alors, c'est oui ou c'est non ? » disait la voix.

Il fallait se décider. Kipp soupira et chercha maladroitement à progresser vers la droite. Il dominait d'une trentaine de mètres le pied de la falaise des Gaillands. Il s'agissait de rejoindre, à main gauche, une arête rocheuse où se devinait un début de vire ; Laurent Bournet était quelque part derrière ! Kipp devait se débrouiller tout seul.

On lui avait expliqué : s'élever sur la jambe droite, faire de l'opposition dans le « dièdre » avec la jambe gauche, le pied posé à plat sur la paroi... se pencher à l'horizontale pour attraper une prise de main sur l'arête... Ensuite ? Ensuite, c'était tout, avait dit Laurent.

Plein de bonne volonté, il essaya.

Ça devait finir comme ça ! Sans doute Laurent s'y attendait-il, car il avait passé sa corde dans un piton ; mais ce qu'il n'avait pas prévu, c'est que Kipp lâcherait prise sans prévenir - les autres criaient toujours avant, - de sorte qu'il avait reçu le choc sur un seul bras, l'autre lui servant à garder son équilibre sur l'étroite plate-forme où il se trouvait ; ça lui, tira les muscles à les arracher, mais il tint bon. Maintenant une voix étouffée parvenait jusqu'à lui.

«Laurent.. je lâche... je lâche tout !...

- M'en doute que vous lâchez tout... » grogna Laurent.

(Roger Frison-Roche, 1948, "La Grande crevasse", édition Arthaud, 1968, pages 10-11)>>.


(g) Par la même méthode, Brigitte brûle les étapes.


- <<- Zian, je suis à bout, je n'irai jamais jusqu'au sommet.

- Que si, mademoiselle, regardez ! Il est là, au-dessus de nos têtes. Encore deux longueurs de corde. »

Ce que Zian ne dit pas, c'est que les deux autres passages sont encore plus difficiles ; au contraire, il la rassure, se fait persuasif.

« Ça n'est plus rien, maintenant. Vous voyez cette fissure ? Il ne faudra pas vous coincer dedans, ce serait trop pénible. Mais sortez sur la plaque, tenez-vous en équilibre par opposition.

- Il y a le vide, Zian... Il me semble que la montagne tourne.

- Ce n'est rien, c'est la fatigue. Tenez, faites comme moi. »

Et Zian part, s'élève on ne sait comment, le corps en équerre, les mains en biais sur une lame de granit, les jambes pesant sur la plaque. Il franchit rapidement quelques mètres, disparaît et se montre de nouveau, écartelé au-dessus du vide. Il a déjà forcé le passage.

« Allez-y, comme je vous ai dit », crie-t-il.

Brigitte attend que la corde soit tendue entre eux, puis, suggestionnée, s'élance à son tour dans la paroi. Zian hurle ses conseils.

« N'hésitez pas à vous projeter dans le vide. Vous tenez... Je vous dis que vous tenez, sacrebleu ! »

En effet, elle tient dans ces pierres infernales ; elle tient par la volonté de son guide, elle adhère, elle monte, ou plutôt, ce n'est plus elle, Brigitte, qui escalade, c'est son double ; son corps ne lui appartient plus, ne lui obéit plus, ses membres exécutent les mouvements que lui indique Zian, et son intelligence, son âme se dédoublent, enregistrent le fait, ne cherchent même pas à le discuter. La voici sur une plate-forme beaucoup plus large, plus confortable. Comment est-elle venue là, elle ne saurait le dire.

« Bravo, dit Zian, encore un effort. »

Il repart, il force de nouveau la muraille. Cette fois, sa silhouette se détache sur le sommet, et Brigitte grimpe derrière lui, les yeux fixés sur ce regard dominateur qui plonge en elle, sur cet être irréel qui chante maintenant, debout sur le pinacle, la corde autour des épaules, les jambes bien campées dans une posture de défi. Comme une somnambule, elle gravit le dernier dièdre, largement ouvert, très lisse, sans prises, incliné à soixante-dix degrés ; mais Zian lui a dit que ça tenait, et ça tient. Elle pose ses mains à plat sur les dalles, elle appuie sur la semelle de ses espadrilles, elle avance, elle progresse, attirée par le regard de l'homme, soutenue par ce regard, et lui, d'une traction un peu plus forte, l'arrache à la paroi, l'amène près de lui, toute chancelante, ivre d'action, d'émotion. Debout au milieu de ce vide immense qui fuit de tous côtés, il la serre dans ses bras, car un faux pas serait mortel et il lui dit simplement :

« Le sommet ! »

Et Brigitte éprouve tout à coup le poids des fatigues de la veille, de la nuit, de la matinée ; ses nerfs lâchent, elle fond en larmes, blottissant sa tête dans le creux de l'épaule de son guide. Il l'assied confortablement sur un bloc, les pieds dans le vide, les reins calés par le rouleau de corde de rappel. Flegmatique, il laisse passer la crise. Brigitte surmonte très vite sa défaillance. Elle essuie les dernières larmes qui sourdent sous ses paupières et font étinceler ses yeux ; elle ébauche un pitoyable sourire, et Zian qui la regarde la trouve bien jolie ainsi, échevelée, désemparée, si faible, redevenue si femme ! Où est-elle la belle fille capricieuse du bal des Guides ?

« C'est fini, Brigitte, fini ! Nous n'irons pas plus haut aujourd'hui », plaisante-t-il, sans même se rendre compte qu'il a dit « Brigitte » tout court.

Où iraient-ils, en effet ? De toutes parts le vide entoure ce sommet exigu, et même en se penchant, ils n'arrivent pas à discerner leur voie d'ascension.

Brigitte a l'impression que cette belle plaine de neige, là, en dessous d'elle, n'est qu'à quelques dizaines de mètres. Cela lui donne presque envie d'y sauter à pieds joints, tant il est vrai que le vide absolu n'effraye point et que seuls les premiers plans servant de points de comparaison peuvent éveiller la sensation de vertige.

Soudain, Brigitte se sent heureuse, délivrée, détendue comme le paysage qui l'entoure, paisible comme ces vastes étendues de neige qui colmatent les gorges de pierres pour en faire des berceaux accueillants ; elle se sent légère comme les rares nuées qui naissent aux flancs des pics, puis se dissolvent de façon mystérieuse, comme ces brumes transIucides qui flottent au-dessus des vallées lointaines, s'étirent en longs écheveaux de laine blanche contournant les hauts sommets.

Pour la première fois de sa vie, Brigitte ne désire plus rien ; il lui semble vivre un rêve qu'elle n'aurait jamais osé faire. Et cela, elle le doit à cet homme simple assis près d'elle. Elle comprend tout à coup pourquoi la montagne le transfigure et le hausse de cent coudées dans l'échelle des êtres : c'est qu'il connaît le chemin de ces paradis inconnus, qu'il juge à sa valeur réelle la vie plate des villes, leurs habitants mesquins et intéressés. Lui, le primaire, le rustre, a su découvrir et lui faire entrevoir ces trésors du coeur et de l'âme. Brigitte se sent désormais réunie à Zian par un lien plus solide que les douze millimètres de chanvre qui l'attachent à lui. Maintenant, initiée, elle sait qu'elle fait désormais partie de la grande famille des montagnards, que tous les dangers qu'elle a courus pour venir jusqu'ici sont négligeables, que pour la première fois de sa vie elle atteint aux difficiles sommets du bonheur.

Sa rêverie est troublée par un cri joyeux. Elle se retourne. Une main apparaît qui se crispe sur le rebord de la plate-forme sommitale, puis une autre, et enfin la bonne tête de Louis Dayot, le guide de la deuxième caravane qu'elle avait complètement oubliée. Derrière lui surgissent les deux « messieurs » silencieux qu'il conduit. Tous se tassent sur l'étroit espace. Le plus âgé des deux étrangers, un homme d'une cinquantaine d'années à la carrure sportive, se tourne vers son fils et déclare avec l'accent traînant et chantant des Vaudois : « Une journée comme celle-ci de temps à autre, et l'on n'a plus grand-chose à demander à la vie... »

Brigitte est toujours perdue dans ses pensées. Zian lui tend les deux brins de corde de rappel qu'il vient d'installer sur la cime.

« Faut songer à la descente, mademoiselle Brigitte.

Elle sursaute.

« Déjà ? Oh ! Zian, je voudrais ne plus jamais redescendre.

- Je me suis déjà dit cela bien souvent, murmure Zian, mais malheureusement c'est impossible. Que diraient vos parents si nous ne rentrions pas ce soir... et la route est encore longue. Allez-y. Vous faisiez très bien les rappels à l'école. Ça n'est pas plus difficile ici, il y a simplement plus de vide. »

Courageusement, Brigitte saisit les deux brins de corde, s'assied dessus, les ramène sur son épaule comme son professeur le lui a enseigné. Attentif, Zian lui relève le col de sa veste pour atténuer le frottement de la corde, puis la regarde disparaître dans le vide. Bientôt, il ne la voit plus, mais le glissement régulier de la corde dans ses mains témoigne d'une descente normale.

« Elle marche bien, ta cliente, Zian, dit Dayot.

- Tu vois, répond fièrement Zian, et c'est sa première course au sortir de l'école.

« Passe-moi ton rappel, poursuit-il. Je te laisse ma corde, comme ça, on gagnera du temps. » Et il s'élance dans le vide avec une agilité d'acrobate.

En trois grands bonds, il atteint la brèche où il retrouve Brigitte, radieuse. Cette descente aérienne au bout d'un fil ravit la jeune fille et l'enchante ; le vide est désormais un attrait de plus pour elle, et elle voudrait que la descente ne cesse jamais.

« Vous aurez bien le temps d'en faire ! Il reste encore tous les rappels de la Ravanel, quatre grands de vingt mètres, pour arriver au Col des Cristaux. Aussi, ménagez-vous quand même. »

Zian plie son rappel, le remet dans le sac et repart pour l'escalade facile de l'Aiguille Ravanel : un chaos de gros blocs à gravir. Dayot et ses clients les rejoignent sur le sommet de la deuxième aiguille. (Roger Frison-Roche, 1948, "La Grande crevasse", édition Arthaud, 1968, pages 59-62)>>.


(h) Mais la jeune fille est beaucoup plus longue à quitter les personnes, les idées et les réflexes de son milieu social et mental. Pour devenir une montagnarde parmi les paysans montagnards, il y faudra un ouvrage supplémentaire. Et c'est le thème de "Retour à la montagne".


(i) Voir Ravanat.




* * *


Auteur.

Hubert Houdoy

Mis en ligne le Lundi 11 Août 2008.



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